Toc toc toc à la porte de l'auberge?

Invité

C'est alors que trois coups furent donnés à la porte de l'auberge et qu'après quelque seconde sans évenement, un homme entra.
Cet homme, ne dépassant pas les autres de par sa grandeur remarquable avait l'air plutôt normale. ormis le fait qu'il était habillé avec des vêtements pas très connu dans les environs. Une très simple explication pouvait venir à l'esprit de quiconque se trouvait dans la pièce :"il ne vient pas d'ici!". Malgré le fait que l'homme venait d'entré dans une auberge il avait l'air surpris d'être regardé et observé alros qu'il avait cogné avant d'entrer. N'aimant clairement pas tout les regard porté sur lui il fit se que tout bon aventurier ferais et releva encore plus son large foulard qui faisait office de capuchon.

L'incconnu en blanc s'avanca vers le bars et s'approcha le plus possible de l'homme qui avait l'air d'être le chef de la place. Il lui fit signe de la main qu'il souhaiterais quelquechose a boire et de s'approcher tandis qu'il essayait de lui chuchoter quelque chose à l'oreille :"ouu puolley ja tluwal ouna jaouna fyrra nummal MaLytchia?".

Sade qui comme a son habitude, était assis près du feu entendit
les paroles de l'étranger et elle sembla comprendre légèrement ce qu'il
venait de dire. Elle se retourna et attendit quelque instant afin de décider si elle
engageait la conversation ou non. Puis elle se leva et alla commander un verre de vin.
Elle regarda l'homme et le détailla sans gêne de la tête au pied.

- Je ne sait pas dans quelle langue vous parlez mais je crois avoir compris le sens de votre question.
Vous recherchez MA-Lycia ?

Elle avait dit ça sur son ton froid habituel mais elle était tout de même intrigué par cet homme
habillé de blanc.

Invité

L'homme se retourna tranquillement vers la femme qui, visiblement, s'addressait à lui. Il fit un gloussement bien soutenue, et dit :"To cluy sebuyl saqa ja dy?" Il rit plus fort et, avec un puissant accent continua :" Je clois pas tu tout!" Il afficha un grand sourire et pris une pose plus détendu.

:"Alo tu pensse savoil ou sse tlouve sset shere MA-Lytchia? Alo elle ne plus ssavoil cobbent ne plus laissé te tlasse!" il pris un air lugubre en s'approchant du visage de la dame :"Ou est elle?"

J'ai attendu le nom de MA-Lycia? Ce n'est pas elle qui a pris la mer il y a quelques temps?

L'inventeur semblait toujours fourré dans les pattes de Sade ces temps ci, mais étrangement, il n'avais pas encore succombé sur les hôtels nouvellement proscrits du "dieu équilibre"

Invité

L'homme se désinteressa facilement de son interlocutrice pour se tourner vers l'autre qui venait d'arriver clâmant qu'il détenait quelques informations que ce soit. Jamais Il n'aurait crut être content d'entendre un inconnu parler de sa MA-Lycia comme ç. Même si les nouvelle incluait qu'il devait continuer de la pourchasser, il voyait qu'il se rapprochait de sont but. il se rapprocha de l'homme et dit : «Ou est elle? pelti vellou?»

Je ne crois pas être la bonne personne pour vous renseigner, tout ce que je sais c'est qu'on l'a vu s'enfoncer en territoire orc, mais demandé donc au clan des barbares, MA-Lycia en était très proche!

Il se rapprocha de l'homme et lui dit à voix basse:

Dites l'ami, vous qui venez de loin, vous rapportez souvent des chansons et des nouvelles de vos pégrinations!

Pour ce qui est des barbares, vous les trouverez au trois roches, demandez Dagdor, c'est celui qui pourra vous renseigner!

En voyant que l'homme avait porté son attention sur le barde,
elle en profita pour l'obrever. Il était certain qu'il ne venait pas du coin
mais quelque chose la dérangait. Pourquoi cherchait-t-il MA-Lycia ?
Puis soudain, un déclic se fit dans son esprit. Il était vétu de blanc comme
elle et son accent lui était familier. Eller commendit deux verres de vin et se
rapprocha de l'homme pour lui en offrir un.

- Vous etes un Mag'Nolites n'est-ce pas ? Rares sont les personne qui sont arrivé de loin
et qui cherchait a trouver notre amie. Surtout que vous avec quelque similarité avec elle.

Elle le fixait d'un regard interrogateur mais tout de meme rempli de respect. Ce qui était tres rare
chez elle. Pourtant son ton était resté de glace.

Invité

Loin d'avoir envie de raconter quelques extrait de sa vie que se soit à un barde et un raconteur, il se mit a ignorer durement l'homme et refit face à l'interlocutrice lui tendant un vers de vin.
:«Et bien! enfin la hospitalité!»
Il prit la coupe et senti le contenue. Ensuite mit ses lèvres sur le bord de celle ci et les y trempa. il fut surpris du petit goût amers mais pas déplaisant que la substance lui procura.
:« avec quoi faite se brevage? fruits? Legumes?»!

MA-Lycia était arrivé depuis peu avec sont groupe d'ami. Cela faisait deux jours qu'un groupe de Mag'Nolite c'était instalé à Ondeval. Elle ce sentait moins seule depuis. La jeune femme était resté quelque temps chez elle avant de repartir avec un groupe de c'est semblable. Elle les avait instalé aux trois roches. Les barbare ne donnait plus de signe de vie depuis un bon moment. Elle en avait profiter pour utiliser le campement pour ces confrère. Elle était partie presque trois mois. Et en arrivant ici, elle n'avait pas eu de nouvelle de son ami Dagdor. Les Mag'Nolite restait la plus part du temps au campement. Mais MA-Lycia quittait le camp de temps à autre pour trouver de l'information concernant Dagdor. Elle ce sentait un peu mal. Elle avait l'impression de l'avoir ambandonné. Que ferait un jeune homme comme lui entouré de barbare farceurs et un peu idiots.

La jeune femme avait instaler son groupe aux Trois-Roches, car peu de gens s'y aventurait, car les terres Orcs y était proche. Ils n'attirait pas l'attention de cette façon. Elle ne leur avait pas interdit de quitter les lieux. Mais connaissant ses frère d'armes, elle croyait qu'ils serait resté tranquilement au camp, comme il avait l'habitude de la faire. Les Mag'Nolite ce comportait comme un meute.

MA-Lycia entra dans l'auberge en espérant trouver quelqu'un qu'elle connait bien. Depuis sont arrivée, elle avait chercher les barbare sans en trouver uns. C'est en passant la porte qu'elle reconnu un voix famillière, celle de Sade. La jeune femme devien folle de rage lorsqu'elle entendu la personne avec qui Sade discutait: Dùmat!

Dans leur enfance, Dùmat et elle avait passé une bonne partie de leur jeunesse ensemble, à ce battre à l'épée. Il s'était perdu de vue lorsque MA-Lycia du étudier l'art de l'alchimie. MA-Lycia s'approcha de l'homme et lui claqua le derri;ere de la tête.

- Koaste ka koa to féyite yitchi?
-Qoasst ka qoa to féýt ýcy?

***Pour le décodage, les autres joueur Mag'Nolite doive utiliser la phrase en orange. La phrase en italique, c'est ce que les gens entendent, la façon de prononcer!^^

Darius, qui avait quitter le campement aux trois roches pour suivir MA-Lycia en cachette, entra dans la taverne un peu après elle. Il fut étonnament surpris de voir que tous les gens de la taverne étaient différent de lui. Il n'était pas habitué à ça, car toute sa vie, il était resté auprès du peuple des Mag'Nolites à apprendre l'art du combat. Assis aux tables, il y avait des humains, des elfes, des nains et même des drakes. Il scruta le regard de certains et il se rendu compte qu'eux aussi n'avaient pas souvent vu un être de sa race.

Gêné, il regarda tout à l'entoure de lui pour retrouver MA-Lycia. Soudain, il l'a vit en train de parler à un homme. Alors, il s'approcha et se rendu compte que cet homme était un Mag'Nolite. Il le regarda d'un aire interrogé et demanda à sa soeur d'arme:

Casste quoye roye?
Kasst qoy roy?

Mercenaire Nombre de messages : 42 Date d'inscription : 30/01/2011

Le vacarme de la pluie s'entendait de l'intérieur de l'auberge. Elle s'abbatait comme rage divine sur le toit de l'édifice dont l'étanchéité était étonnante. La taverne était animé comme à l'habitude, des gens discutaient par-ci par-là, d'autres buvaient et d'autres qui avaient visiblement bus cuvaient leur pêché sur les planchers de l'auberge. Depuis quelques temps, la porte de l'auberge était entrouverte, peut-être que quelqu'un avait oublié de la fermer. Le vent souffla par l'angle de l'entrée, et la porte se mit à basculer. Loin de déranger au gens, mais non le moindre déplaisant, elle continua son manège, puis elle s'arrêta soudainement, retenue par la poigne d'une main ganté. À nouveau, un étranger s'avança à l'orée de la lumière ambiante de la taverne. Encapuchonné, comme certains, il, puisqu'il avait la carrure d'un homme et non les courbes d'une femme, referma la porte en savourant un environnement sec. Habillé d'un manteau de cuir, avec de la maille dessous, il était muni d'une cape brune, et d'une large épée, qui à l'aspect un peu terni, avait servi. Alors il releva la tête, laissant entrevoir des éclats pétillants sous ses yeux à la lueur de la lumière, et dit:

Suis-je bien au village d'Andal, dans les terres d'Ondeval?

En voyant que son amie était trop concentrée sur le Mag'Nolite inconnu de Dariùs, il décida de retourner au campement aux trois roches où étaient les autres de son groupe. Il ne voulait pas déranger MA-Lycia et son ami.

Alors, avant de partir, il se prit une coupe de rhum et prit la direction de la porte. En sortant, il croisa le regard de l'homme mystérieux encapuchonné et le dévisagea. Il n'était pas à l'aise car tout lui semblait très étranger.

Mercenaire Nombre de messages : 42 Date d'inscription : 30/01/2011

Et alors? Que pouvez-vous me dire, guerrier? Suis-je bien à Ondeval,?

Les yeux d'Alajan rencontrèrent ceux du guerrier qui lui faisait face. Quelque chose l'agaçait dans le regard de cet homme, une simple énigme familière. Alajan se concentra dans un mutisme embarrassant face à l'homme qui devait se demander qui était cet énergumène. Il regarda ses joues, ses oreilles, peut-être ses cheveux, mais il s'attarda sur les yeux du guerrier. Des éclats scintillants sous les yeux... Une illumination passa soudain à travers lui...

Par pur hasard ou par un destin énigmatique, seriez-vous un membre de ce peuple très peu connu, les Mag'Nolites?

Dariùs se retourna très surpris de voir que l'étranger connaissait sa race et qu'il était avec un groupe de Mag'Nolite. Mais comment avait-t-il su cela?
Peut-être était-t-il un grand voyageur ou un aventurier qui avait déjà rencontré un être de sa race? Ou bien, peut-être était-il un Mag'Nolite?! Mais,
le guerrier ne pouvait pas le savoir, car celui-ci était capuchonné. Alors, il lui demanda, avec son accent :

- Qui est-tu, toi?

Mercenaire Nombre de messages : 42 Date d'inscription : 30/01/2011

J'oubliais les bonnes manières...

Alajan releva son capuchan, dévoilant une visage aux traits sages mais violents à la fois. Ses cheveux étaient bruns comme l'écorce du pin, ses yeux étaient noirs comme les murmures dans une sombre nuit et une mince barbe recouvrait la partie inférieure de sa figure. Un large tatouage, dont le centre se trouvait dans son oeil gauche, recouvrait la majorité de son visage et lui donnait un air mystique, mais le plus remarquable, c'était l'éclat scintillant sous ses yeux, comme une poudre argentée.

Laissez-moi me présenter: Je me nomme Alajan le Sans-nom, et je suis venu ici en quête. Alors, qui est l'homme devant moi?

Soudain, le guerrier constata que l'être se tenant devant lui était belle et bien un Mag'Nolite. Il avait tous les traits de caractéristique, en particulier, la poussière scintillante sur ses paupières inférieures. Alors Dariùs s'inclina en guise d'excuse car lorsqu'Alajan portait encore sa capuche, il était certain que celui-ci était un humain qui s'était perdu en chemin ou quelque chose du genre. Après savoir incliné, Dariùs s'excusa auprès d'Alajan.

-Pardonne moi, mon frère. Je te prennais pour un autre. Je me présente, Dariùs le Guerrier, à ton service. Pour répondre à ta question, tu es belle et bien à l'auberge d'Andal sur les terres d'Ondeval. Si tu veux, tu peux me suivre jusqu'au campement de mon groupe, aux trois rochers, je crois. Veux-tu?

Invité

L'homme qui jusqu'à maintenant ne s'était contenté de rien dire et feindre d'ignorer les personnes qui passait tout près de lui soit-ils des hommes, des femmes, elfes, nains, orc, ses frères ou même MA-Lycia, finalement se tourna d'un trait avec un air renfrogné, et planta ses yeux directement dans ceux du jeune Dariùs et lui dit:
'' Relève toi jeune idiots! N'as-tu pas de fierté?'' Dùmat lacha un grognement sourd et pris la jeune crapule par le collet afin de le relevé et de l'approcher de son visage.
''Tu n'es pas un guerrier tant et aussi longtemps que tu n'es pas passé par moi et quand j'en aurai fini avec toi!'' Il afficha un sourire malsain, quasi meurtrier! Il lacha le jeune homme et se retourna vers le comptoir pour finir la dernière gorgé de son verre puis tourna un peu la tête encore vers sa ''victime'' pour terminé avec :
''Tu n'es pas encore un guerrier selon moi.. mais tu feras tes preuves j'en suis certain..comme beaucoup on fait sous ma tutelle. Mais avant d'être un gladiateur, commence par pouvoir enduré quelque potions et avant ça pense que tu pourrais te retrouvé seul........comme moi....Mais je veut que d'abord et avant tout tu te rende bien compte que tu n'es pas le commun des mortels.. TOU ASST OUNA MAG'NOLITE!''

Il le poussa un peu et lui demanda de finir son verre pour le laisser à l'auberge où il l'appartenait pour finalement se tourné vers l'homme que Dariùs avait précédemment si poliment:
''Et toi... d'où tu viens? Je ne crois pas te connaître! C'est la demande de Volontariat de Dame MA-Lycia qui à piqué ton intérêt, petit?'' Dùmat avait remarqué l'épée que Alajan trimbalait avec lui:
''Elle est à toi? tu t'en ai déja servit? Et tu arrives d'où comme ca?''

Mercenaire Nombre de messages : 42 Date d'inscription : 30/01/2011

Alajan afficha un sourire devant face aux gens devant lui.

Je n'aurai jamais pensé trouver des gens de mon espèce sur les terres d'Ondeval. Retrouver des gens de ma racine me redonne un sentiment d'appartenir à quelque chose d'autre.

L'homme qui avait réprimandé le guerrier Darius et qui visiblement semblait être son mentor s'était retourné vers lui en l'assaillant d'interrogation.

Je vois que vous avez remarqué mon épée, que j'appelle si communément l'Implacable. Si l'on jugerait un homme selon le nombre de fois où il a utilisé son épée, j'espère, au moins, que j'aurai votre respect, cher frère, dit Alajan avec un ton sardonique avant de marquer une courte pause. Il s'avança au comptoir de l'auberge et demanda à boire, puis dit: Je n'ai pas entendu parler de demande de volontariat de cette certaine Dame Ma-Lycia. Qui est-elle? Je suis venu sur les terres d'Ondeval pour commencer mon Reïna'Kal, la voie de l'ascension à la lame, puisque je ne possède, outre la langue et le corps singulier des Mag'Nolite, ni votre culture et vos coutumes, du fait que j'ai quitté le carcan de notre peuple très jeune. J'avais actuellement 8 ans. J'ai développé des aptitudes que certains Mag'Nolites verraient d'un mauvais oeil, mais un ordre particulier de mages m'a trouvé et a fait de moi un de leur disciple. Cet ordre de mages, l'ordre du Deï'Taso, n'est pas le genre de place où vous allez voire des rats de bibliothèques ou des ermiques ne tremper que dans leur étude. Non, le Deï'Taso est un ordre de mage de guerre, des mages destinés à servir à la fois avec leur don sans oublier la racine du combat. Tout jeune, j'ai été destiné à suivre la voie du Kal, et ma lame est devenue depuis ce temps ma meilleure ami dans ce monde. À l'opposé de ce que vous pensez, cette lame est vivante. J'ai forgé un pacte avec elle et nous sommes liés à tout jamais, du moins jusqu'à ce que la froide mort m'emporte. Quand j'utilise la magie, c'est avec ma lame, et non avec des tours de passe-passe et de gestes ésotériques. Mes mentors m'ont envoyé ici pour finir mon éducation, dans une solitude incomparable. Du moins, je suis ravi de retrouver les miens, avec je l'espère, une pensée pour m'accepter dans leur cercle, s'ils n'y voient pas d'inconvénient, comme vous, messire. Quel est votre juste nom?

Invité

Le Mag'nolite visiblement pas très convaincu, interrogea le jeune inconnu: "Alors Comme ça tu as décidé de laisser les tiens? En frais de guerre et de batailles ton peuple d'origine son très probablement plus efficaces, non? Tu dis que certaines méthode serait mal vue parmi nous? Alors quelles sont-elles et pourquoi les utilises-tu? Tu vois, Toute ma vie j'ai passé des heures et des heures a m'entrainé pour réussir à compenser pour la faiblesse et le manque due a ma non consommation des potions. Et qu'est que tes sorcières ont a proposé de plus qu'un jeune mag'nolite avec des potions et mélange inimaginable!? Tu ne connais peut-être pas le fièrté d'être un de Nous.. mais j'espère que tu verras que le Bon chemin a prendre c'est celui de ta famille!"

Mercenaire Nombre de messages : 42 Date d'inscription : 30/01/2011

Alajan posa son verre sur le comptoir, avant de répondre à l'homme:

J'aurai aimé rester dans ma famille et devenir un champion de mon peuple, j'avais l'ambition et le futur devant moi, mais l'ordre dont je fais parti ne m'ont pas laissé le choix, surtout devant le rare don dont je possède. Savez-vous à quelle fréquence le don de Lame-magie apparait? C'est environ un enfant par génération, rarement deux. La Lame-magie est un art reculé et singulier. Les parchemins et papyrus présent dans le monde sont fort rares, et beaucoup ont, dit-on, été emporté ici, sur les terres d'Ondeval, lors de la colonisation de l'île, il y a des lustres.

Il marqua une pause et dit :

Je ne connais pas la fierté de mon peuple, mais j'espère que retrouver les miens me guidera sur ce chemin. Quel est votre nom, au fait?

Dariùs était furieux contre Dùmat. Ce n'est pas du fait qu'il l'ait bousculé et agressé, mais du fait qu'il lui avait dit que selon lui, il n'était pas encore un vrai guerrier.
Pourtant, le jeune homme travaillait fort. Peut-être que s'être incliner en guise d'excuse envers Alajan était un peu exagéré, mais pas au point de dire qu'il n'a pas de fierté.
Dariùs était frustré et déçu en même temps. Il avait beau ne pas croire Dùmat au sujet qu'il n'est pas encore un gladiateur, mais celui-ci avait formé de grands
combattants. Donc si il le disait, c'est que c'est vrai. Alors, Dariùs prit une grande respiration pour se calmer et répondit à son supérieur:

- Ne t'inquiète pas, Dùmat! Je serai à la hauteur de tes attentes et je ferai mes preuves. Il n'y a rien au monde que je ne ferait pas pour devenir un Grand Gladiateur!
Ja soyitch one Mag' Nolite!
Ja so`yss on Mag' Nolite!

Sur ce, Dariùs parti en direction de la porte de sortie et puis s'en alla.