Récit d'un voyage vers Ondeval, par Sareth de Tharizdun

Novembre de l’an 2009...

-Mais vous êtes fous!

C’est ainsi que c’était exprimé un marin répondant au nom de Tergon. Au beau milieu du navire, le marin dialoguait avec mon maître alors que la mer s’agitait impitoyablement.

-Si nous continuons dans cette direction, nous allons frapper de pleins fouets les tempêtes saisonnières! Vous nous imposez du suicide!

Les traits de mon maître se durcir et il empoigna avec force le collet du marin, terrorisé par le regard acerbe de mon maître.

- Écoute-moi bien, pauvre chien. Dis aux autres hommes de naviguer vers le sud, sinon je m’assurai gentiment que ta tête se retrouve sur le mats du navire, est-ce claire, pauvre imbécile? Insista-t-il d’un ton sévère.

-Euh... bégaya le pauvre homme intimidé.

Le marin déguerpit comme un lièvre face à un coyote et mon maître croisa ses bras autour de son corps, scrutant la mer.

Il avait de cela trois jours exactement, mon maître et moi avions emprunté, grâce à une large somme d’or, le navire pour voyager vers un lieu qu’il préférait ne point me révéler. Si j’eus été bien étonné qu’il me cache une si grande chose, je ne m’étais point obstiné sur notre destination, car connaissant mon hôte, il aurait sitôt fait de m’apostropher sur le quai. Nous furent partis le lendemain sur les eaux, à ce moment calme, accompagnés d’une dizaine de soldats de métier. En ce moment sur l’embarcation, il eut une chose dont j’étais sûr : la Quête. Oui, notre quête, ainsi que la quête de nous tous, croyants de Tharizdun. Même si je n’avais que vingt ans, la flamme de ma foi rayonnait telle une lumière dans l’obscur monde illusionné par les Dieux, et mon maître était le bois nécessaire pour préserver le feu.

Le soir même, Tergon revint vers nous, mais cette fois-ci accompagné de deux hommes farouches. Je sentais alors la tension qui régnait et qu’il n’en fut que peu pour faire des étincelles et que mon hôte explose de colère.

-Tergon! Que me vaut ta visite, pauvre scélérat?! Clama mon maître.

-Moi et ces hommes avons décidés d’en finir avec votre tyrannie! Nous ne mourrons pas pour un pauvre fou croyant à des anneries!

Ce fut la goutte qui fit déborder le vase. Mon maître dégaina son épée, vif comme l’éclair, et, d’un coup précis et bref, envoya la tête du pauvre marin sur le pont du navire, sous le regard ahurie des deux hommes. Le corps tomba à la renverse sur le sol, se vidant complètement de son sang. Les marins se pétrifièrent sous l’attention de mon maître et, priant pour que leurs vies soient sauves, s’agenouillèrent au pied de mon maître. Il les regarda avec dégoûts et dit, d’une voix impitoyable :

-J’admire les hommes qui ont le courage de me défier, mais je déteste ceux qui me trahissent comme des maudits lâches!

-Pitié! Laissez-nous la vie sauve, mon bon seigneur! Clamèrent-ils.

-Qui a dit que vous perdrez la vie là, devant moi? Non, c’est trop juste! Je vous torturai jusqu’à ce que vos membres atteignent des proportions démesurées et que vous me baisez les pieds pour crever! Gardes, emmenez ces deux traîtres dans la cave du navire! Nous leurs réservons un délectable supplice...

Un rictus de plaisir apparut sur le visage de mon maître. Les deux hommes fondirent en sanglot jusqu’à deux soldats les emmènent sur les tables d’élongation, où je pris un malin plaisir avec mon maître à entendre les cris de supplices des deux hommes, jusqu’à ce que le jeu prit fin le lendemain matin, lorsqu’on constata la mort de ceux-ci. Mon maître parut déçu, s’attendant à une vive résistance de la part des deux marins défunts.

Nous répriment alors notre route vers des horizons nouveaux. Une semaine passa sans grand incident et nous atteignîmes une petit île où nous arrêtâmes le navire pour prendre du repos. Nous dormîmes sur cette ile où un mauvais pressentiment m’envahit jusqu’au lendemain où il se concrétisa...

Après plus d’une semaine de mer, les vivres commençaient à nous manquer et l’atmosphère depuis la mort des trois hommes avait amené un climat de discorde. Moi et mon hôte nous préparions à une quelque sorte mutinerie, mais une chose pire encore troubla le navire.

-Mon seigneur, mon seigneur! Cria un marin à l’égard de mon supérieur, j’aperçois une forme flou à l’horizon qui se déplace étrangement vite sur nous!

-Pourquoi vous m’avertissez pour un misérable cétacé, marin!

-Mais, mon seigneur, j’en ai vu des baleines et je n’ai jamais rien vu de tel dans mon existence! C’est gigantesque et...

N’eut-il pas finit de formuler sa phrase qu’un tentacule monstrueuse enlaça le pauvre marin pour l’apporter dans les confins de la mer. Je tressaillis sous l’apparition du monstre marin, mais mon maître garda un équilibre dans sa voix et il s’exclama haut et fort :

-Préparez-vous au combat! Nous sommes attaqués!

Cela eut un effet dévastateur. Le chaos s’installa rapidement sur le navire et des harpons furent disposés sur le pont. Je dégainai mon arme quand un énorme tentacule jaillit de je ne sais où et m’agrippa par la jambe droite. J’eus juste le temps d’attraper ma dague à la ceinture et, de toutes mes forces, je tentai de me défaire du tentacule. Ce phénomène arriva à plusieurs marins et la discorde s’amplifia. D’un coup maladroit, je réussi malgré tout à me défaire de l’appendice monstrueux et à me relever qu’un tentacule beaucoup plus imposant fonça sur mon maître. Comme si la chose aurait été d’une lenteur inexplicable, mon maître l’évita et de sa lame affutée trancha le tentacule d’où jaillit un sang vert étrangement odorant.

-Par le sang du Maudit, un kraken! Vociféra mon hôte.

De retour sur mes jambes, je dégainai mon épée et je me lançai sur un tentacule tentant de s’emparer d’un de nos hommes. Mon épée fendit l’air sur la chose et une gercée de liquide verdâtre en jaillit. Le marin eut juste le temps de se relever et de dire un timide merci que je retournai au combat contre un ennemi nous assaillant de tous les bords du navire. Bien vite, la situation dégénéra et plusieurs de nos hommes furent emmenés dans les profondeurs abyssales. Soudain, un gargantuesque tentacule s’éleva dans les airs. Des braves lancèrent leur harpon sur l’appendice, mais il était trop tard : la chose allait nous tomber dessus et scinder le navire en deux. Mon maître ne tressaillit point, mais je donnai une dernière prière à Tharizdun avant que le navire éclate en morceau. L’impact fut brutal. Je fus propulsé dans les eaux sous les hurlements de terreurs m’entourant. Emporté dans les profondeurs par ma lourdeur, je sentis la vie m’abandonner... Étais-ce ça, mourir? Et la Quête et tout ce que je devais accomplir? Mes yeux se fermèrent tranquillement, peut-être à cause de l’eau... Mais ma vie se défila devant moi et alors, j’abandonnai tout espoir, jusqu’à ce qu’une main humaine me ramène à la surface sur un débris du navire, où je sentis l’air à nouveau emplir mes poumons. Eussé-je le temps de voir mon sauveteur qu’il sombra dans les profondeurs et que moi aussi, je sombrai dans les ténèbres... Que Tharizdun me protége!

À SUIVRE...

Laissez des commentaires SVP!

..très belle histoire, sérieux.. c'est asser intriguant, va falloire qu'on se rencontre sur les terre cette année^^
curieux de savoir t'est qui...
c'est ta première année?

Non, j'étais connu sous le nom de Tariq, Tigrou.

ho, sa majesté le détesté!! hahaha

c'était qui déjà tariq ??? tu fesait quel perso au dernier GN

Pour commencer, Tariq c'était pas une réussite.

C'était ma première année
Je suis une couille en oral
J'ai été nommé roi dans le mauvais camp
Je n'ai jamais vécu d'expérience de RP sur Ondeval
J'étais intimidé par Rassifiel et son groupe (je l'admet)

Bon, est-ce que vous pourriez laissez des comz sur le texte, non sur qui j'étais? De toute façon, Tariq est détruit pour laisser place à Sareth.

Héhé très très bien. Du potentiel pour écrire des histoire. J'adore les récit. Si tu tiens a ce personnage, je te conseil de faire un manuscris, si ce n'est déjà fait. Pour ma part, mon personnage tien un journal ( elle est rendu a plus qu'un on s'entend XD) sur son voyage depuis sont départ. J'ai commencé à l'écrire et je le continue et continuerai à chaque fin de GN. La vie de mon personnage est sur papier.

J'ai des dixaine d'histoires et de personnages inventé dans ma tête. J'en ai d'écrits et j'en ai de dessinés. La mémoires est bonne, mais n'est pas toujours fiable. Les paroles s'en volent, les écrits restent!

Merveilleuse idée! Merci de ton commentaire MA-Lycia. Enfin quelqu'un qui me lit et me critique sincèrement!

Wow je l'écrit sur le forum, même si tu es dan le même local informatique de l'école et à l'ordi d'acôter mais bon... comme le dit Ma-Ly, les écrit restent les paroles s'envolent.

P.S : Ma-Ly, ton idée de faire un journal, est excellente! je m'y mettrais l'année prochaine!

Dagdor

Au moins, tu pourrais me dire si tu l'as lu ?XD Pas sûr moi...

Merde, tu as vu que j'avais simplement lu les premières lignes... Ça m'apprendra à être à côter de toi au local informatique xD...

Dag

exellante idée ma-lycia, sourtout pour le perso grande gueule que sera aerin!! je mi metterai moi aussi!! haha

Alors que mon corps inconscient dérivait sur la grande étendue azur, mes souvenirs se bousculaient dans ma tête et j’essayais de me remémorer, lorsqu'il retrouvé...

Souvenir d’un saint...
Septembre de l’an 1996

C’était une de c’est journée morose de septembre alors que ma famille s’était réunie dans la maison de mes aïeux pour fêter la venu de l’autre saison. Dans mon village, tous les habitants avaient préparé un festin du soir avec les nombreuses récoltes de l’année. Évidemment, chacun y avait donné sa part et la fête fut un succès, comme tous les ans. La soirée avait coulé comme une couleuvre entre nos doigts et bientôt ce fut la nuit qui nous accueillit, et il faut dire certains qui avaient un peu trop arrosé le repas furent plus qu’accueillit! Il était évident qu’avec tant d’alcool, les hommes du village ne seraient pas en mesure de protéger les femmes et les enfants contre le plus innocent des gnomes!

Mon sommeil était paisible jusqu’à ce que je fusse réveillé par des hurlements de terreur. Le village était attaqué par une bande de pillards et ils saccageaient maintenant l’endroit avec leur épée et leur torche enflammée dans un moment de faiblesse du village. Notre maison était en prise aux flammes et je me précipitai à l’extérieur où j’aperçus les bourreaux de mon village à cheval. Les hommes du village tentaient bien que mal à protéger l’endroit, mais l’alcool faisait effet sur eux. Je courus le plus vite possible me mettre à l’abri quand le sabot d’un cheval me frappa de pleins fouets sur le sol. Je rampai alors le plus rapidement possible sous les débris d’une maison silencieusement, où je passai le reste de cette nuit chaotique assis, les bras sur les cuisses et la tête dans les mains pour me faire oublier les cris de mes proches déchirants la nuit. À l’aube, un peu plus de deux heures après le sac du village, les bruits infernaux des chevaux surmontés de leur cavalier se turent pour laissez planer un silence perfide et emplie d’amertume. Mes parents étaient morts sous les flammes ou les épées, ainsi que le village entier. Mes yeux s’embuèrent et un liquide chaud se glissa sur mes joues enfantines. Je n’avais que sept ans...

Ce qui passa par la suite scella mon destin à jamais. Alors que je sanglotais sous les restes d’une maison, une main miséricordieuse s’offrit à moi dans l’obscurité des récents événements. L’homme qui me recueillit m’éleva comme l’aurais fait un père. C’était un saint, oui, un saint des saints! Même si aujourd’hui je le nomme mon maître, il n’en reste qu’il m’enseigna l’art du combat et m’appris les commandements de notre sainte Quête. Cet homme, il se nommait Thazarim.

À SUIVRE

HAHAHAHA!!! tout le monde va ce trainer un journal l'année prochaine Razz

En tout ca moi ça m'a sauvé^^ Rassifiel avait lancé un sort de perte de mémoire. Nous avion une dants contre un certain Morak, il nous avait volé un objet et nous voulions le faire payer. Il est allé demandé secour a Rassifiel et il nous a fait perdre la mémoire. On ne savais plus rien de ce qui c'étais passé le mois dernier. Mais pas chance. Avec mon journal j'ai relu le passage et expliqué a mes confrère ce qui c'étais passé. Depuis ça, nous détestons plus Rassifiel et continuons de tracker Morak pour le punir^^

Vive les notes^^

Par contre, vu que vous le mettez en jeu le journal peu donc être volé, lus ou copié. Si vous écrivez plus que vos actes, comme moi pour les formules de potions et de magie, inventez vous une langue ou un code. C'est ce que j'ai fais. Mon personnage a une langue a lui, il faudra du temps au voleur pour le déchiffrer. Et du temps pour moi de le trouver sans qu'il n'ai eu le temps lire^^ C'est efficace et s'écurisant!!!

Ma-Lycia, tu viens de lancer une nouvelle mode!
Récit d'un voyage vers Ondeval, par Sareth de Tharizdun Icon_clown

Bon, LA j'ai eu le temps de tout lire!

Je souhaitais dire que ton histoire est impressionnante!

P.S Bon, l'année prochaine à Ondeval, tout le monde va se promener avec un journal Récit d'un voyage vers Ondeval, par Sareth de Tharizdun Icon_razz

Dag

pour le journal...c'est plus pour me souvenir de mon personnage et de ses aventures. Peut-être un jour, j'espère, une de mes histoire sera publié. Halala que je serais contente!!!!!! ^^ Récit d'un voyage vers Ondeval, par Sareth de Tharizdun Icon_cheers

Récit d'un voyage vers Ondeval, par Sareth de Tharizdun Lol

ce serait trop cool! Si jamais ça se fait, j'en veux un exemplaire^^ !

Dag

Sombres songes...

Éclairantes pensées...

Mort et tyrannie...

Vie et paix...

Chaos et Harmonie...

Bien et mal...

Éveil-toi,

Corbeau de malheur.

Surgissant de mes rêves tourmentés d’anciennes misères, mes pensées furent plus claires et distinctes, puis mes sens s’éveillèrent. Couché sur le ventre, la mer me léchait les orteils comme une douce caresse. Mes doigts s’agrippèrent dans le sable tandis que je relevais la tête, mes paupières s’agrandissant au fur et à mesure. Mon corps était endolori et tous mes vêtements étaient imbibés d’eau salée. Je me retournai sur mon dos à l’aide de bras pour observer la clarté du ciel et je tins une sombre prière à Tharizdun.

Ô Tharizdun, grand esprit enchaîné et tourmenté, châtiez-moi pour m’avoir écarté de la Voie, labourez ma chair, nourrissez mon calvaire et haïssez-moi, car mon maître est mort. Faites claquer les Fouets de l’affliction sur mon corps impie et rejetez dans les flots mes lambeaux de peau en trop.

Le dieu exauçant le vœu du martyre, une douleur envahit mon esprit à l’instant. Une énorme entaille se profilait le long de mon mollet gauche, attisant une vive douleur de ma part. Je lâchai un vif cri de douleur vers le ciel, libérant la malédiction de mon corps.

Ô grand être enchaîné, soyez louangez pour votre grâce !

Laissant ma blessure à l’air ambiant, je me levai péniblement, scrutant les moindres recoins de la plage où j’avais atterri. Combien de temps fus-je sur ce fichu débris ? Des heures, des jours, des semaines ? Le temps semblait être dénudé de sens à ce moment où mon seul soucis fut de trouvé de quoi boire et manger. Le ciel se faisait sombre et la rosée tomba. J’en profitai pour lécher les feuilles des plantes que je trouvais en m’aventurant dans la forêt de plus en plus loin. Il était inutile de rester en arrière ; il fallait avancer ! Alors que j’avançai, une branche claqua sur l’entaille de ma jambe, attisant un juron de douleur.

-Fichtre et double foutre ! jurai-je.

Ma jambe était devenue sombre et je devais un moyen de guérir l’infection qui gagnait en terrain. Je devais vite trouver des plantes médicinales, sinon je serais obligé d’abandonner des morceaux en cours de route...

En fouillant dans la forêt, je dénichai de la Calendula officinalis. Béni soit mon maître de m’avoir appris les bases de l’herboristerie! Je recueillis la Calendula, puis j’en fis une mixture avec une branche épaisse et de l’écorce épaisse. Quoi de mieux pour faire un mortier et pilon en forêt! J’étendis le mélange sur ma blessure en serrant les dents, puis j’enroulai mon bandage autour de ma jambe.

La nuit tomba sur la forêt comme un voile obscure. J’avais récemment trouvé des champignons comestibles en fouillant en boitant. Je dégustai goulument les agarics des bois que j’avais récoltés, puis je me fabriquai un feu pour passer la nuit fraîche. Ma jambe était peut-être sauvée, mais je devais me reposer, car j’étais extrêmement fatigué. Je m’assoupis sous une lune souriante et des étoiles scintillantes.

non mais excuser moi...mais pour la conclusion du journal....TROUVER VOS IDÉE....c'est comme chiant de se fairevollé la base de ses idée (a mon avis)...comme l'anné passé a se qui parait vous vous etes fait démolir pas des drow...ben tout veut faire des drow pour l'anné prochaine...j'apel sa de la pur copie ou tout simplement un signe de faiblesse...
moi a mon avis je veut etre unique...mais vous voulez tous des idée pour vos perso...mais genre que...c'est pas vrm vos idée Récit d'un voyage vers Ondeval, par Sareth de Tharizdun Affraid

Récit d'un voyage vers Ondeval, par Sareth de Tharizdun Affraid

breff tout se putain de message pour te dire que...trouver vos idée...par que c'Est plate la copie....l'année passé on se croyais plus a un Gn naruto ke un Gn médiéval Récit d'un voyage vers Ondeval, par Sareth de Tharizdun Icon_evil

j'étais vrm désu de l'originalité des gens -.-

ash a écrit:: non mais excuser moi...mais pour la conclusion du journal....TROUVER VOS IDÉE....c'est comme chiant de se fairevollé la base de ses idée (a mon avis)...comme l'anné passé a se qui parait vous vous etes fait démolir pas des drow...ben tout veut faire des drow pour l'anné prochaine...j'apel sa de la pur copie ou tout simplement un signe de faiblesse...
moi a mon avis je veut etre unique...mais vous voulez tous des idée pour vos perso...mais genre que...c'est pas vrm vos idée

breff tout se putain de message pour te dire que...trouver vos idée...par que c'Est plate la copie....l'année passé on se croyais plus a un Gn naruto ke un Gn médiéval

j'étais vrm désu de l'originalité des gens -.-

Très d'accord avec toi, mais est-ce que sa touche ma trame de fond de mon personnage que je fais présentement et que j'ai posté?

non pas vrm...mais jveut dire je serai décu que tu copie l'idée de ma-lycia...par ce que sa pus sortir de la marde a cause de sa ,^^

mais s'incere trouve des idée dla mort ke personne ne penserais ^^

aie! aie !aie ! caramba!!!

sa set des bien jolies des aventures sur les terres d Ondeval . j'ai hâte de savoir la suite . le =père= de mon =père= a très hâte de lire les récit de Sareth .

merci

ouais ! vaudrait tout trouver une idée aussi merveilleuse que celle d'aerin!!! hahahahha

non mais excuser moi...mais pour la conclusion du journal....TROUVER VOS IDÉE....c'est comme chiant de se fairevollé la base de ses idée (a mon avis)...comme l'anné passé a se qui parait vous vous etes fait démolir pas des drow...ben tout veut faire des drow pour l'anné prochaine...j'apel sa de la pur copie ou tout simplement un signe de faiblesse...
moi a mon avis je veut etre unique...mais vous voulez tous des idée pour vos perso...mais genre que...c'est pas vrm vos idée Récit d'un voyage vers Ondeval, par Sareth de Tharizdun Affraid

breff tout se putain de message pour te dire que...trouver vos idée...par que c'Est plate la copie....l'année passé on se croyais plus a un Gn naruto ke un Gn médiéval Récit d'un voyage vers Ondeval, par Sareth de Tharizdun Icon_evil

j'étais vrm désu de l'originalité des gens -.-

Ash ce n'étais pas des drows qui ont tué la plupart des personnes , mais lyco un demi-vampire drow fils de Von Vordak c pas un deux de pic de simple drow lala

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